Quotidien Shaarli

Tous les liens d'un jour sur une page.
Comment former des citoyens éveillés ? – Libération
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Consumérisme décervelant, démocratie participative introuvable, nationalisme et haines… Le réveil d’une citoyenneté consciente du désastre ambiant est plus que jamais indispensable.

Une vie numérique sans GAFAM est-elle possible ? Corinne Vercher-Chaptal nous présente les opportunités qu’offrent les plateformes alternatives et les défis qu’elles rencontrent | CNNum | Traducteur et éclaireur des transformations numériques

Corinne Vercher-Chaptal est professeure en gestion à l’université Sorbonne Paris Nord et membre du Centre d'économie et de gestion de Paris Nord (CEPN UMR CNRS 7234). Avec une équipe de recherche pluridisciplinaire, elle a mené une étude approfondie sur sept plateformes considérées comme alternatives aux plateformes dominantes. Entre transition écologique et renouveau démocratique, Corinne Vercher-Chaptal nous décrit les promesses de ces plateformes innovantes.

Au passage on note qu'on a du mal à se décrotter, même quand on parle d'alternatives, du jargon startupial avec la notion de plateforme "innovante" par exemple.

La faune sauvage filmée en direct 24/24h, sélection de livecams indiscrètes
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Plus les animaux disparaissent de la surface du globe, plus ils apparaissent sur Internet. Notre sélection de livecams pour admirer en direct des ours, éléphants, zèbres, aigles, orques…

Le Monde – En Chine, les géants de la tech au service de la surveillance
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« La Chine avant le congrès » (2/5). En dix ans, les applications WeChat et Alipay ont radicalement changé le quotidien des Chinois. Mais les données récoltées par ces géants de la tech contribuent au contrôle social exercé par le gouvernement chinois.

Meta is desperately trying to make the metaverse happen
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lol...

À un moment on se demandera (j'espère) comment tant d'intelligence, d'énergie et d'argent a pu être consommé pour ce délire débile...

L'intelligence artificielle est imparfaite, et alors ?
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« Comprendre, au moins superficiellement, la technologie tout en gardant un esprit ouvert mais critique est le seul moyen de faire un bon usage de l’IA. Cela est particulièrement important pour des applications critiques ayant un impact physique direct sur les utilisateurs, comme les voitures autonomes ou les applications médicales. C’est également le cas de l’aide à la décision pour des applications à fort impact social, légal, éthique, voire scientifique – un cas où on est à la recherche du « vrai », pas seulement de bonnes performances. La certification de l’IA reste ainsi un immense défi. »

Sur Twitter, Elon Musk s’improvise expert en géopolitique… au grand bonheur de Moscou et Pékin
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L’homme le plus riche du monde a proposé ses solutions à la guerre en Ukraine et aux tensions entre la Chine et Taïwan. Le réseau s’en amuse, pas les actionnaires de Tesla, dont le cours a perdu près de la moitié de sa valeur depuis la mi-mars.

Cinq ans après #metoo, l’antiféminisme prospère sur les réseaux sociaux
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Internet a permis au mouvement féministe de se développer, mais il est aussi devenu l’espace où #metoo est le plus âprement combattu.

« si les opinions sexistes n’ont pas besoin du Web pour exister, elles profitent tout de même du fonctionnement des grandes plates-formes pour proliférer. La modération des réseaux sociaux, une tâche titanesque et souvent critiquée pour son inefficacité, est particulièrement mauvaise quand il s’agit de traiter les violences misogynes. Si les hommes comme les femmes peuvent faire l’objet d’attaques en ligne, ces dernières subissent beaucoup plus de violences en rapport avec leur genre ou leur sexualité : d’après une étude de l’institut américain Pew Research Center datant de 2021, 47 % des femmes ayant déclaré un fait de cyberharcèlement l’ont été à cause de leur genre, contre 18 % des hommes. »

La vigueur de l’antiféminisme et du masculinisme s’inscrit donc, de façon plus générale, dans le cadre du succès des idées conservatrices sur le Web. « C’est une idéologie d’extrême droite, à une époque où ces courants progressent un peu partout. Les discours contre le féminisme sont un outil pour attirer l’attention des plus jeunes », relève Florence Rochefort. « On ne se bat pas à armes égales, parce qu’on est sur Internet, mais surtout parce qu’on vit dans une société patriarcale et qu’on remet en cause le pouvoir établi, conclut Ketsia Mutombo, cofondatrice du collectif Féministes contre le cyberharcèlement. Le féminisme, c’est encore subversif. »