Bienvenue sur ma veille personnelle.
Ici je vous partage les articles qui m'ont plu, m'ont intéressé, m'ont stimulé. Le fait que je partage un article ne veut pas forcément dire que je suis d'accord, comme je l'évoquerais sans doute dans les notes qui l'accompagne.
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Ma veille perso porte principalement sur : #numérique #geekerie #écologie #social #politique #alternatives. Et pour une veille dédiée à l'éducation au numérique (éducation au numérique à l'école, dans le milieu associatif, médiation numérique), rendez-vous sur la veille de Resnumerica.
À propos
Je m’appelle Louis Derrac. Je suis consultant, formateur et enseignant, spécialisé dans les domaines de l’éducation et du numérique. Retrouvez moi sur mon site.
Entre complexe écologeek, économies de mégaoctets et zone Amish, un sujet vertigineux avec lequel on n’en a pas fini.
Petit clin d’oeil à l’édition #19, comprenez 19ème édition de LUDOVIA, qui aura lieu du 22 au 25 août prochain à Ax-les-Thermes et dont le thème est justement « Éthique et sobriété numérique en éducation« .
Un commissaire de l’autorité américaine de régulation des communications demande dans une lettre ouverte aux deux géants de l’Internet de retirer de leurs magasins d’applications la plateforme de microvidéos TikTok, accusée de “pratiques douteuses en matière de données”.
Si vous aimez passer un peu de temps sur YouTube pour vous former, vous savez sans doute que YouTube est un piège à productivité. Il y a des notifications, des suggestions de contenus distrayants, des tonnes de commentaires débiles à lire et j’en passe.
Heureusement, il y a une extension pour Chrome, Firefox et Edge nommée Unhook qui permet de retirer de l’affichage des pages YouTube de très nombreux éléments à la carte. Ainsi, vous pouvez par exemple virer les recommandations de vidéos et conserver les commentaires. Ou supprimer les deux. Ou cacher les chapitres, les chats, les transcriptions…etc. Vous pouvez même désactiver l’autoplay.
La première édition du festival de la low-tech a commencé samedi 25 juin. L’idée : démocratiser ces technologies sobres, qui requièrent des changements de comportement conséquents.
Géolocalisation, messages, recherches… De nombreuses informations personnelles habituellement collectées par les plates-formes pourraient devenir particulièrement plus sensibles dans les Etats souhaitant interdire l’avortement.
Comme chaque année, le grand raout d'Apple transforme – encore plus que d'habitude – les journalistes tech en auxiliaires de communication de la marque. Je le sais pour avoir été moi-même couvrir, tous frais payés (par Apple), la "keynote" 2018. Il est grand temps de s'interroger sur la pertinence journalistique de ces "reportages".
Les milliardaires qui contrôlent la presse sont les plus subventionnés par l’État. À ce premier scandale s’en ajoute un autre : les mêmes siphonnent la majorité des aides apportées par les géants de la technologie américains. Cette convergence protège la presse sous influence et étouffe la presse indépendante.
À l’aune du Covid-19 et de la guerre en Ukraine, le logiciel libre apparaît plus que jamais comme un outil de souveraineté numérique. Son adoption par l’administration ne se fait pourtant pas sans heurts.
Depuis ses débuts, Internet est l’objet d’une construction collective par des acteurs qui revendiquent son ouverture. Pour ces tenants des « communs numériques », le cadre juridique et les régulations d'internet sont insuffisantes et ne permettent pas de garantir « un Internet diversifié, non monopolistique et non privatisé ». Ils alertent l'Union Européenne : « Nous ne pouvons pas accepter de définir l'espace numérique comme un lieu où seules les dynamiques du capital et de la privatisation règnent ».
Une seconde très intéressante émission du nouvel esprit public, tournée culture numérique et ici spécifiquement autour de Facebook et Mark Zuckerberg
Très intéressante émission du nouvel esprit public.
Des agriculteurs craignent la dépendance croissante que la numérisation de leur secteur induit à l'égard de l'industrie.
"Notre article porte sur le projet Ambassadeurs du numérique à Paris, qui fait partie de Humane (« Humanités numériques, entre recherche et éducation »), l’un des groupes thématiques numériques (GTnum) financés par le ministère de l’Éducation nationale. Ce dispositif consiste, pour des étudiants en deuxième année du master Métiers de l’enseignement, de l’éducation et de la formation (MEEF), à renforcer leur formation au numérique, par le numérique, et à développer des pratiques raisonnées dans leurs classes. La mise en œuvre d’ateliers avec ces étudiants nous a permis d’analyser la façon dont ils s’emparent du numérique et de mener une réflexion sur la place du numérique dans la construction de leur identité professionnelle en développement."
Des cas d’agression sexuelle dans les mondes en réalité virtuelle soulèvent la question de la modération des métavers. Si certains existent depuis longtemps, notamment dans les jeux vidéo, ils n’ont pas pour autant de solution simple.
La modération est, depuis longtemps, une épine dans le pied des grandes entreprises du Web, accusées de ne pas assez investir pour la sécurité des internautes, et d’avoir conçu des plates-formes impossibles à contrôler. Les métavers, parfois décrits comme notre futur en ligne, pourraient-ils être l’occasion de faire les choses correctement, dès le commencement ? Ou, au contraire, est-on déjà en train de reproduire les erreurs du passé ? « La modération est souvent utilisée comme un pansement pour régler les problèmes structurels des plates-formes, regrette Katherine Cross. On doit construire des métavers qui prennent en compte les abus potentiels dès la première ligne de code. Mais, pour des grosses entreprises comme Meta, malheureusement, la modération restera probablement un sujet auquel on réfléchira après coup. Comme cela a toujours été. »
La transition écologique et la transition numérique ont donné naissance à un nouvel enjeu sociétal : la sobriété numérique. C’est une problématique au croisement des humanités numériques et des sciences de l’environnement, qui consiste à comprendre nos impacts technologiques sur l’environnement et à les modérer. De fait, l’empreinte numérique est aujourd’hui de 4 % et ce pourcentage aura doublé en 2023. L’ambition de cet article est que l’enseignement obligatoire et supérieur s’empare de cette tension pour initier une éducation à la sobriété numérique. Par Sarah Descamps, Gaëtan Temperman et Bruno De Lièvre, « Vers une éducation à la sobriété numérique », Humanités numériques
Internet Explorer pour les gens de la génération (50 piges) qui ont connu les débuts du web et d'internet quand ils avaient entre 18 et 25 ans, c'est un truc un peu à part. Le navigateur web fut lancé en 1995. En 1995 le web avait à peine 6 ans. Et il était très très très loin d'être ce média grand public que l'on connaît aujourd'hui. Il y avait encore des annuaires de recherche (Yahoo), on utilisait des Frames, et la balise <blink> (qui affichait un texte clignotant) était une sorte de summum de l'ergonomie disruptive.
En 2017, le ministère de l’enseignement supérieur remettait à plat le système d’affectation vers l’enseignement supérieur « Admission Post Bac » (ou « APB »), en partie pour répondre à l’émotion suscitée par l’organisation de tirages au sort pour 0,5 % des élèves de lycée dans une poignée de filières en tension et aux critiques sur son manque de transparence.
Dans un an, le Manifest V2 de Chrome ne sera plus supporté, obligeant les développeurs d’extensions à s’adapter à la V3. Derrière ce changement, Chrome parle de sécurité et de performances. Mais la problématique est plus profonde et touche au blocage publicitaire. Explications.
Blake Lemoine, the engineer, says that Google’s language model has a soul. The company disagrees.
Lol