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À propos
Je m’appelle Louis Derrac. Je suis un acteur de l’éducation au numérique depuis 2012, indépendant depuis 2018. J’agis comme consultant, concepteur/chef de projet et formateur. Retrouvez moi sur mon site.
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Génial !!
Excellent article merci !!
« C’est là un point que personne n’aborde : la finalité de ces IA génératives qui sont effectivement très performantes dans la génération de contenus textuels et visuels, mais qui vont surtout dans un premier temps profiter aux fermes à contenus et spammeurs, une perspective qui ne me réjouit pas. À court terme, tous les articles seront remis en cause, car on les soupçonnera d’avoir été générés : Welcome to the Big Blur. »
Très important ça, le technosolutionnisme classique :
« Ils nous décrivent l’IA générative comme la solution ultime, alors qu’elle sert surtout à atténuer les symptômes d’une inculture informatique et numérique, mais pas à traiter les problèmes à la source. »
« À une époque pas si éloignée (il y a quelques semaines), la croissance des usages numériques était remise en cause par la nécessité de réduire l’impact environnemental (émission de gaz à effet de serre) et par la diminution de notre dépendance aux géants numériques américains. Et sans crier gare, ChatGPT débarque, et toutes ces considérations écolo-souverainistes passent au second plan. Telles des légions de skitarii de l’Adeptes Mechanicus, nous vénérons aveuglément l’innovation technologique et nous nous prosternons devant le dieu machine, comme s’il allait résoudre de façon miraculeuse tous nos problèmes. Celles et ceux qui osent questionner cette “révolution technologique” sont qualifiés de rétrogrades, voire de vieux cons incapables de mesurer le potentiel disruptives des IA génératives. Où est donc passé notre esprit critique ou notre libre arbitre ? »
Avec Arnaud Orain Professeur d'économie à l'Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis & Harold Levrel Économiste de l’environnement
Très très bonne nouvelle ça !
« il faut dépasser le battage médiatique pour comprendre l’impact réel, en matière d’applications, de cette nouvelle technologie dont il est difficile de contrôler les contenus créés, et encore plus de certifier les réponses qu’elle apporte. Le bilan des cinq dernières années est impressionnant, peu de domaines progressent aussi vite, mais la route est encore longue. »
La route est longue pour aller où ???
Toujours aussi bon
« L’une des escroqueries intellectuelles majeures des absolutistes du copyright est d’avoir réussi à nous faire croire qu’il n’y avait pas d’alternatives entre ces deux extrêmes. Tout comme on est soit propriétaire de la pomme, soit on n’en est pas propriétaire, la fiction veut qu’on soit soit propriétaire d’une œuvre (détenteur du copyright), soit rien du tout, juste bon à regarder. C’est bien entendu faux.
Si la licence est un mur d’obligations auxquelles doit se soumettre l’acheteur, il est possible de n’en prendre que certaines briques. Par exemple, on peut donner tous les droits à l’utilisateur sauf celui de s’approprier la paternité d’une œuvre. Les licences BSD, MIT ou Creative Commons By, par exemple, requièrent de citer l’auteur original. Mais on peut toujours modifier et redistribuer. »
Eh oui...
effeectivement, excellente nouvelle !
“L’informatisation des services administratifs est la porte d’entrée historique des cabinets de conseils dans les affaires publiques et reste aujourd’hui la plus grosse part de dépense liée au consulting”, lit-on dans Consultocratie (FYP éditions, 2022).
le succès ne se démord pas !
Toujours cool ce genre d'articles, à l'occas j'en ferai un aussi :)
Dans notre ère numérique et avec la montée en puissance des géants comme Amazon, comment La Poste se réinvente-t-elle ? Retour sur les évolutions du Groupe La Poste, entreprise à mission, avec son président-directeur général, Philippe Wahl.
« S’il ne fallait retenir qu’un seul message : l’avenir de la voiture sera assurément électrique, mais la voiture individuelle ne doit pas être l’avenir de notre mobilité. »
Excellent article merci Christophe !