Excellent !
Les collectivités s'inquiètent aussi du retour sur investissement des projets, sujet devenu critique alors que des coupes budgétaires se profilent. La région Île-de-France qui s'est lancée très tôt dans 8 preuves de concept (POC) (notre article du 11 mars 2024) a ainsi décidé d'arrêter certains projets. C'est notamment le cas de la lutte contre le gaspillage alimentaire dans les cantines des lycées, projet qui mobilise une IA classique. "Ce que l'on économise grâce à l'algorithme correspond grosso modo à ce que la région a donné à la startup", explique Bernard Giry, chargé de la transformation numérique à la région.
Purée enfin
Un indispensable par les temps qui courent
« Les entretiens de l’IA ». La linguiste Emily Bender dénonce depuis 2021 la course, dans l’intelligence artificielle, aux grands modèles de langage qui alimentent les robots conversationnels comme ChatGPT.
Très intéressant partage de réflexions sur l'IA générative
Une sacrée plongée dans les chiffres de OpenAI... et pourquoi cette boite est insoutenable (économiquement, sans parler du poids écologique) en l'état
Trois chercheuses de la plateforme d’hébergement de projets d’IA Hugging Face, Sasha Luccioni, Bruna Trevelin et Margaret Mitchell ont rassemblé les connaissances disponibles actuellement à propos de l’impact de l’IA sur l’environnement. Elles constatent encore trop peu de transparence sur les besoins énergétiques de chaque application d’IA, elles parcourent l’ensemble des connaissances actuellement disponibles.
« Une nouvelle étude révèle que les hallucinations de grands modèles de langage (LLM) découlent de leurs structures mathématiques et logiques fondamentales. En augmentant la complexité et la capacité des modèles, il est possible de réduire la fréquence de ces hallucinations, mais il serait impossible de les éliminer complètement. »
Via Sebsauvage
Source : Next - Flux Complet
« Although tech companies have long done business with the fossil-fuel industry, Microsoft’s case is notable. It demonstrates how the AI boom contributes to one of the most pressing issues facing our planet today—despite the fact that the technology is often lauded for its supposed potential to improve our world, as when Sam Altman testified to Congress that it could address issues such as “climate change and curing cancer.” These deals also show how Microsoft can use the vagaries of AI to talk out of both sides of its mouth, courting the fossil-fuel industry while asserting its environmental bona fides. »
Source : Arthur Perret
A comprehensive living database of over 700 AI risks categorized by their cause and risk domain.
Via Bertrand Keller sur techologie.
Source : Next - Flux Complet
Selon des tests réalisés pour l’autorité australienne de régulation des entreprises, la Securities and Investments Commission (ASIC), l’intelligence artificielle produit de moins bons résultats que les humains dans toutes les tâches de résumé. Au point que ces technologies pourraient créer du travail supplémentaire plutôt qu’en enlever.
LOL. Cf mon dernier article, L’IA comme prétexte pour éduquer au numérique