Comme souvent, très très bonne newsletter :)
Rho la classe je suis cité sur Next !!!
Très cool de voir que Naomi Klein a son site, sa newsletter. Elle ne dépend pas de plateformes sociales. Bonne pratique !!
Étude assez glaçante, et il y a peu de raisons de penser qu'il en est autrement en France.
J'ai lu pas mal d'articles sur BS récemment. J'en ai partagé pas mal sur cette veille. Et donc, au final, même si je me suis créé un compte, je reste très méfiant vis-à-vis de ce réseau.
En fait il est techniquement prometteur, idem en termes deinterfaces et de choix de modération. Mais, d'une part, il y a la question de l'argent, du modèle économique. Clairement, les gens derrière BS ne sont pas des philanthropes. Ce sont des cryptobros (j'ai bien aimé la proposition de « cryptocards »), soutenus par des VC qui vont vouloir du ROI XXL. D'autre part, j'ai l'impression qu'en me plongeant dans ce réseau social, je retrouve ce qui devenait malsain pour moi sur TwitterX : toujours plus d'interactions (de qualité discutable), toujours plus d'égoboost, toujours plus de charge mentale. Et ça me fait repenser à cet article : People Aren’t Meant to Talk This Much
Arf oui... C'est un des gros, gros points noirs de Bluesky... Ce qui me rend très, très méfiant vis-à-vis de ce réseau aussi.
« The era of the centralized, canonical feed is coming to an end. What’s coming next is going to be more dispersed, more fractured, more specialized »
« Wouldn’t it just be better if fewer people posted less stuff, less frequently, and if smaller audiences saw it? ». Cette interrogation me parle.
Ça me refait penser au projet radicalement alternatif de minus.social : 500 posts sur un compte, pas plus. De quoi faire de beaux projets de création sous contrainte, soit dit en passant.
Je ne partage pas toute la complexité qui est magistralement proposée dans cet article, car j'ai une vision plus « simple » et sans doute plus « utilitariste » des réseaux sociaux numériques.
A suivre...
Signal faible encore, à suivre de près : « Des chercheuses australiennes ont montré récemment dans un article scientifique que les femmes exposées aux vidéos de TikTok perdent de l’estime pour leur propre corps. Elles expliquent que les vidéos du mouvement pro-anorexie profitent particulièrement de l’algorithme de recommandation « Pour vous » de l’application. »
Source : Next - Flux Complet