Mark Zuckerberg va mettre la puissance de Meta au service de la présidence Trumphttps://newsletters.feedbinusercontent.com/ee7/ee7054e8da9951fc3da644c1a30fc95355b32324.html
Ce discours marque un tournant dans la révolution numérique. Cette remarque n’a rien d'exagéré. Facebook s’est construit sur la monétisation de la rage et de l’outrance. A ce titre, le réseau social (et ses dépendances) est devenue une puissante bombe à fragmenter les démocraties. Le voici aujourd’hui qui fait allégeance à une administration autocratique, imprévisible et hégémonique (cf le feuilleton sur le Groenland et Panama). Tout cela n’a rien de fun.