What if the panic over teens and tech is totally wrong?https://www.vox.com/technology/372690/instgram-teen-accounts-kid-safety-mental-health
Article équilibré mais son titre me déplait. Comme je l'ai dit dans un autre article, je ne pense pas qu'on puisse parler de panique (lire mon article). On peut en revanche parler d'inquiétude (parfois très forte) légitime et justifiée.
“I hear that talk of a ban as a kind of howl of despair, really, that we’ve lost control,” said Sonia Livingstone, a professor of social psychology at the London School of Economics, who has been studying kids and tech for decades. “We’ve lost control of the feed from the companies, and we’ve lost control of our education and our health and our family life by accepting — as part of whatever kind of Faustian contract — the infrastructure of commerce.”
In other words, we’re letting the tech companies win.
Companies like Meta make money by getting their users to engage more with their products, so they can collect data about them and sell targeted ads accordingly. Instagram’s new Teen Accounts might make parents feel like they have a bit more control over how their kids factor into these transactions, but their kids’ attention is still the product.
Source : Technology – Vox
« Les discours stigmatisants sur les jeunes en disent moins sur la jeunesse que sur les peurs et fantasmes de la société »https://www.lemonde.fr/campus/article/2024/08/19/les-discours-stigmatisants-sur-les-jeunes-en-disent-moins-sur-la-jeunesse-que-sur-les-peurs-et-fantasmes-de-la-societe_6285953_4401467.html
« Jeunesses et préjugés » (1/4). Ils seraient mal éduqués, paresseux, rétifs à l’autorité et même égoïstes. Dans une série d’entretiens, des chercheurs détricotent les clichés qui collent à la peau des jeunes. Dans cet épisode, l’historienne Ludivine Bantigny retrace les origines de ce regard biaisé de la société.
‘It’s basically inaccessible without a phone’: are kids losing their love for music? | Music | The Guardianhttps://www.theguardian.com/music/article/2024/may/22/phone-kids-losing-their-love-for-music
Children used to obsessively put CDs and 7-inches on repeat, but streaming means they need digital devices and parental permission to play music. And there’s little being done to help
My daughter is nine years old. When I was her age, in 1989, I had my own small cassette player and a beloved pile of my own tapes – brand new, or made up of songs from the radio – that I could listen to whenever I wanted. The same went for my parents’ modest CD collection (Genesis’s Invisible Touch was awesome; their three Lionel Richie albums were boring). There were a few vinyl records knocking about and there were at least two radios – invariably set to Capital FM – that I could turn on whenever.
My daughter has none of these things. The only way she can access music is by making me get my phone out and play a song on my Spotify account. The inconvenience is trifling, but more painful and alarming is the growing gap between us when it comes to musical experience.
Pourquoi les boomers prennent les jeunes de haut ? - Ft. Salomé Saqué - Invidioushttps://inv.zzls.xyz/watch?v=CJu2--tl2rQ
Visiblement ça date pas d’hier que les jeunes soient des petits cons… ou plus précisément que leurs aînés disent ça d’eux. Avec Salomé Saqué, on discute de tout ça et de pourquoi les boomers ont oublié d’où ils viennent, à l’occasion de la sortie de son livre “Sois jeune et tais-toi” chez Payot, à mettre entre toutes les mains, en particulier celles de vos parents qui soufflent du nez quand vous leur parlez de votre éco-anxiété :
https://www.payot-rivages.fr/payot/livre/sois-jeune-et-tais-toi-9782228931632
“Les jeunes qui s’informent uniquement sur les réseaux sociaux sont en réalité peu nombreux”https://www.telerama.fr/enfants/les-jeunes-qui-s-informent-uniquement-sur-les-reseaux-sociaux-sont-en-realite-peu-nombreux-7014204.php
Quand on dit « les jeunes s’informent sur les réseaux sociaux », que dit-on ? Et de quelle jeunesse parle-t-on ? L’axiome est souvent teinté de jugement, parfois de mépris. On estime que les ados, unanimement à l’aise avec le numérique, sont d’une perméabilité évidente aux fake news et à la désinformation. Le sociologue Julien Boyadjian, maître de conférences en sciences politique à Sciences Po Lille, livre dans une enquête un portrait tout en nuances de ces Jeunesses connectées, plurielles et pas aussi uniformes qu’on le pense. Entretien à l’occasion des vingt ans du Safer Internet Day, une journée internationale pour la protection des mineurs en ligne.
7 conseils aux parents qui trouvent que leur enfant regarde trop de «m**de» sur internet — Super demainhttps://www.superdemain.fr/le-super-media/7-conseils-aux-parents
À l'instant où vous mettez, dans les mains de votre enfant, un appareil connecté à internet, vous acceptez de fait qu’il ou elle ait accès à l'immense diversité de contenus accessibles en ligne. Or, sur Internet, il y a vraiment de tout : de quoi devenir aussi fort en physique qu’Einstein, aussi cultivé que Jamy ou aussi calé en géographie que Sylvain Tesson*. Pourtant votre enfant s'acharne a regarder des trucs qui vous sont insupportables. Voici quelques conseils pour vous aider à faire la part des choses !