Une université vient de tuer une librairie. Le libéralisme a fourni l’arme. Les codes des marchés ont fourni la balle. Et l’université, après avoir baissé les yeux, a appuyé sur la détente.
Cette université c'est "mon" université, Nantes Université. Cette librairie c'est la librairie Vent d'Ouest
Via le Khryspresso
Et hop, une nouvelle plainte !
A garder sous le coude
Embrasser quelqu’un de force, complimenter l’apparence d’une collègue, faire une blague salace… pour beaucoup, il est encore difficile de faire la différence entre la séduction et les violences sexistes et sexuelles.
Une des faits les plus marquants et les plus nocifs de notre époque, me semble-t-il, est le manque de temps. La fameuse économie de l’attention nous cause beaucoup de tort, à la fois individuellement et collectivement. Avoir le temps devient un luxe, et on est d’autant plus plongé dans un sentiment d’urgence permanente qu’on est précaire. Ce temps réapproprié, c’est aussi celui de l’émancipation, et c’est une des conditions du bonheur.
Ne jamais l'oublier : ces entreprises ne sont pas là pour « changer le monde », elles sont là pour faire un max de pognon...
Via Sebsauvage
Intéressant même s'il faut noter les limites de la sobriété numérique et du numérique responsable (cf : Numérique responsable, critique d’un oxymore)