Ce lien entre le niveau de maîtrise des compétences numériques et le milieu social dans lequel évoluent les élèves rejoint les résultats observés lors de l’enquête ICILS 2018 auprès d’élèves de quatrième. Ceux-ci pointaient en effet des écarts de score importants selon le profil social des élèves dans le domaine de la littératie numérique et, plus encore, dans celui de la pensée informatique.
Bien que souvent présentée comme une technologie efficace, neutre et révolutionnaire, l’intelligence artificielle (IA) est truffée de biais sexistes et racistes. Cela est dû à la manière même dont elle est construite et alimentée. Comment la rendre plus inclusive ? Débat entre la philosophe Vanessa Nurock, la docteure en intelligence artificielle Amélie Cordier et la juriste Doaa Abu-Elyounes.
Via la newsletter de Mathilde Saliou, Technoculture
Magnifique...
Vraiment très intéressant !
Les Ceméa France organisent une conférence "Cybersurveillance : quels enjeux pour demain?", lundi 29 janvier 2024 de 15h à 18h au sein de la Maison de la recherche, Salle MR002 de l'Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis. Nous échangerons sur les enjeux de la cybersurveillance au sein de nos sociétés, et notamment au regard des élections européennes et de l’organisation des JOP (Jeux Olympiques et Paralympique - 2024) en France.
Cette table ronde sera animée par les Cemea en presénce de :
Julien Rossi, maître de conférences à Université Paris VIII Vincennes - Saint-Denis, chercheur au CEMTI et associé au PREFICS (Université Rennes 2) et au COSTECH (Université de Technologie de Compiègne (UTC)).
Katia Roux, chargée de plaidoyer au sein du programme Libertés Amnesty International France
Olivier Tesquet, journaliste au sein de la cellule “Enquêtes” de Télérama
Corentin, du collectif Technopolice Bruxelles.
Pour s'inscrire (en ligne ou en présentiel), voici le lien : https://ln.cemea.org/table-ronde-cybersurveillance
Une alternative libre à Game Board Arena. Via Numahel
Intéressant quand vers 1h05, le président d'Accenture parle de la « tech fatigue », ou de cet âge de raison du numérique où les utilisateurices veulent reprendre du contrôle et ne plus être contrôlés. Cela fait écho à mes voeux où je parlais d'âge de maturité du numérique.
Pour le reste baaaaah, c'est du langage de consultant quoi...
Dans la famille de La Porte, je demande Jean-François. Périodiquement, Xavier nous fait découvrir les personnages insolites qui peuplent son entourage. La particularité de Jean-François : il vit complètement en dehors du monde numérique, et même de l’informatique la plus basique.
Bien sûr, on s'afflige de la fracture numérique, on lance de grandes campagnes de lutte contre l'illectronisme. Mais au fond, la marche du monde elle même n'est pas remise en cause. Et tranquillement, collectivement, on a fabriqué un nouvelle sorte de handicap.
=> Et une forme d'exclusion : l'exclusion numérique, seul terme propre à nommer les chose, à l'inverse de l'inclusion numérique qui n'agit qu'en correctif.
poke @scribouilli :)
Et article en lien à lire chez David Larlet : https://larlet.fr/david/2024/01/10/
Mouais, avis tronqué à mon sens mais bon, ça existe donc je partage...
Il se déroule une véritable croisade sémantique de la part des acteurs de la médiation et de l’inclusion numérique pour asseoir leur expertise dans différents domaines : l’éducation aux médias et à l’information, l’éducation aux et par les jeux vidéo, l’employabilité, la parentalité numérique (accompagnement des parents dans leurs usages numériques et ceux de leurs enfants), l’accessibilité numérique pour les personnes en situation de handicap, la sensibilisation aux enjeux environnementaux liés aux usages des outils numériques, etc.
L’inclusion numérique est un processus incarné dans une relation pédagogique permise par ces professionnels, ayant pour leitmotiv la transmission de savoirs, de savoir-faire et de compétences en lien avec la culture numérique.
Certes, les professionnels opèrent pour un accès aux droits dans le cadre de la numérisation des services publics, mais également autour de questions liées aux médias, à l’information, aux jeux vidéo, à la formation, à l’emploi, à l’environnement, à l’accessibilité et à la parentalité. Et bien plus encore, l’inclusion numérique se présente comme un levier pour l’inclusion sociale de tous les citoyens.