Taïwan, histoires mêlées et futurs orageux de la numérisation | Gauthier Roussilhehttps://gauthierroussilhe.com/articles/taiwan-histoires-glorieuses-et-futurs-sombres-de-la-numerisation
Wouhou vraiment hyper intéressant
Wouhou vraiment hyper intéressant
Ouh ça a l'air très très bon tout ça !
Très cohérente politique numérique pour Paris Web, et un bon exemple pour d'autres !
Et malgré tout, Orange veut faire du numérique « responsable »... SIC
Plaisir partagé et trop content du résultat !
On a besoin de ce genre d'études pour dépassionner les discussions pro/anti numérique et aller sur la ligne de crête d'une éducation technocritique à l'ère du numérique (et de l'urgence écologique).
Sous le coude, mais je compte bien écouter. J'ai toujours aimé jouer, et je joue encore !
" Mais le problème me semble être encore en amont: pour pouvoir débattre du numérique, il nous faut d’abord le (re)politiser, l’extraire de son statut uniquement technique pour en faire un enjeu majeur de société, entériner publiquement qu’à chacune de ses adoptions, c’est un certain modèle de vivre ensemble qui est choisi, au détriment d’autres. Au niveau académique, nous essayons de le faire en déconstruisant les discours qui prônent sa neutralité et ses supposés bienfaits intrinsèques (dématérialisation, démocratisation de l’information, réduction de l’empreinte écologique, etc.5). Au niveau citoyen, il me semble que l’option principale aujourd’hui soit surtout celle de l’opposition à son déploiement, jusqu’à obtenir un débat citoyen à son sujet et, mieux encore, un processus de décision partagé entre Etat et populations touchées, autant celles qui l’utilisent que celles qui le subissent."
C'est un gros problème, et ça donne clairement envie de pirater ses biens numériques (jeux, livres et films sans DRM, etc.)...
Ma réponse courte : non. Cf mon article Numérique responsable, critique d’un oxymore...
Intéressante analyse d'une journaliste qui quitte le Washinton pour lancer son média indépendant, sur fond de difficultés (litote) des médias traditionnels à traiter la chose numérique.
Plutôt que se demander comment accélérer la transition numérique dans l'éducation, on pourrait se demander pourquoi, et pour quoi ?
ÉDITORIAL. Le canton fait preuve d’un volontarisme qui détonne par rapport au reste du pays. La décision des autorités de renoncer en partie aux services de Microsoft à l’école souligne l’importance qu’accorde désormais le politique à cet enjeu primordial
Article équilibré mais son titre me déplait. Comme je l'ai dit dans un autre article, je ne pense pas qu'on puisse parler de panique (lire mon article). On peut en revanche parler d'inquiétude (parfois très forte) légitime et justifiée.
“I hear that talk of a ban as a kind of howl of despair, really, that we’ve lost control,” said Sonia Livingstone, a professor of social psychology at the London School of Economics, who has been studying kids and tech for decades. “We’ve lost control of the feed from the companies, and we’ve lost control of our education and our health and our family life by accepting — as part of whatever kind of Faustian contract — the infrastructure of commerce.”
In other words, we’re letting the tech companies win.
Companies like Meta make money by getting their users to engage more with their products, so they can collect data about them and sell targeted ads accordingly. Instagram’s new Teen Accounts might make parents feel like they have a bit more control over how their kids factor into these transactions, but their kids’ attention is still the product.
Source : Technology – Vox