Les jeux vidéo ont souvent mauvaise réputation, en raison de la présence de jeux parfois très violents. Une nouvelle étude menée sur une dizaine d’années affirme qu’il n’existe aucun lien entre le fait de jouer à ces jeux durant l’adolescence et la violence à l’âge adulte.
Des gameuses jouant en streaming et travaillant dans les jeux vidéo commencent à s’organiser pour trouver leurs places dans un milieu qui leur est hostile.
« Beaucoup, en ligne, ont recours aux mêmes parades pour garantir leur tranquillité : choisir un homme blanc pour avatar, se genrer au masculin, éteindre la caméra, étouffer un accent ou couper le micro… Car le double phénomène du sexisme et du racisme reste extrêmement répandu dans l’univers geek, sur les chats des jeux vidéo en ligne, dans les sessions de streaming, sur YouTube et les réseaux sociaux. »
« The reality, a new study suggests, is that we simply don’t have a good grip on how games affect our well-being, if at all. »
« The findings demonstrate the complexity of making definite conclusions about how and why playing video games affects us. The science of researching games is relatively new, and studying them is tough because of how varied they are: a simple puzzle app on a smartphone is very different from a sprawling massively multiplayer online game, and modern games contain vast amounts of data. Another factor is that the industry’s technology evolves more quickly than researchers can conduct studies, meaning their methodologies for studying effects on mental health or aggression can be contentious. »