J'ai déjà partagé cette étude, et elle devrait nous faire réfléchir collectivement...
« Encore une fois, il ne s’agit là que de pistes pour anticiper un Internet dégradé. Rien ne dit que ce sera le cas dans un avenir proche, mais rien ne permet non plus d’affirmer qu’on restera éternellement dans la forme d’abondance (à comprendre dans le sens illimité) que l’on connait actuellement. »
We’re making more data than ever. What can—and should—we save for future generations? And will they be able to understand it?
Toutes mes questions sont là, je dévore !
Source : Next - Flux Complet
Source : Grise Bouille
The internet has become an extractive and fragile monoculture. But we can revitalize it using lessons learned by ecologists.
Jolie métaphore entre monoculture et web dominant.
via David Larlet
rattrapage d'articles que j'avais pas sauvegardés ;)
Petit rattrapage d'articles pour mémoire
La situation est plus complexe, plus nuancée maintenant que tout le monde est en ligne, que tout est marchandisé, que nous faisons face à la surveillance des entreprises. J’ai la sensation qu’Internet, aujourd’hui, est de plus en plus morne, épuisant… Tout ce que vous y faites est examiné sous toutes les coutures.
C’est absurde de vivre à une époque où révéler des informations dans le domaine public est un crime. Cela a créé un effet dissuasif : maintenant, décrire la réalité est considéré comme un acte criminel. C’est malsain.
Coupure d’accès au réseau, censure des médias sociaux, emprisonnements de blogueurs, utilisation de logiciels espions… les atteintes aux droits humains sur l’internet prolifèrent dans de nombreux pays, alerte l’ONG américaine Freedom House, qui souligne un recul de ces libertés pour la onzième année consécutive.
Et chez nous ?
Intéressant ça pour le coup !
Un des principes moteurs de l’Internet est son « ouverture », ou sommairement son accès équitable pour tous à tous les services. Cette notion de « neutralité du Net » est vivement débattue à travers le monde depuis plus de 20 ans, et souvent considérée comme un acquis. Mais l’évolution des réseaux de communication pose de nouveaux défis pour ce principe fondateur. Doit-il être adapté, supprimé ou faut-il l’établir comme une ligne rouge à ne pas franchir ? Et si on veut le conserver, comment contrôler en pratique qu’il est respecté ?
Comment enseigner la citoyenneté numérique en classe ?
Mercredi 30 novembre - Carrefour de l’innovation pédagogique - 14h30 à 15h50 – Atelier de co-construction
Organisé par : CNIL / ARCOM /Défenseur des droits
Animation : Carina CHATAIN et Jennifer ELBAZ (CNIL), Victoria PLA (DDD), Manon CONAN (Arcom)
L’objectif de cet atelier est de construire ensemble un plan d’enseignement de la citoyenneté numérique, pour la classe. Quels espaces, quels temps accorder à l’enseignement de la citoyenneté numérique en primaire et secondaire ?
En particulier :
Les usages responsables d’internet : identité et comportement en ligne.
Liberté d’expression : lutte contre les infox et la haine en ligne.
Les représentations médiatiques : égalité femmes-hommes.
Diversité de la société française.
Connaître et exercer ses droits dans le monde numérique.
Savoir se protéger en ligne, comprendre comment fonctionne le monde numérique, connaître ses droits et apprendre à les exercer avec ses parents : la maîtrise de ces enjeux doit permettre aux enfants de devenir des citoyens numériques. C’est à cette condition qu’ils seront en capacité de profiter pleinement et en toute sécurité des opportunités offertes par Internet.
Pour accompagner les usages en ligne de plus en plus intenses des jeunes enfants, parfois seuls sur Internet, la CNIL lance la campagne « Tous ensemble – Prudence sur Internet ! » avec de nouvelles ressources dédiées aux enfants âgés de 8 à 10 ans, le plus souvent scolarisés du CE2 au CM2.
Retour sur un bout d'histoire de la culture web française :)
Le Wifi, la 5G ou encore les smartphones donnent l’image d’un monde sans fil. Pourtant, si nous connaissons Internet tel qu’il est aujourd’hui, c’est grâce à des câbles sous-marins, qui canalisent près de 99 % du trafic mondial (les satellites ne jouent qu’un rôle marginal).