À partir d’une importante collecte de données issues de Twitter et Telegram, Dusan Bozalka cartographie et retrace, pour la première fois dans une dimension multiplateforme, le parcours de fausses informations élaborées en Russie. Celles-ci circulent particulièrement sur les réseaux sociaux via des comptes complotistes qui en gomment l'origine.
Quand on dit « les jeunes s’informent sur les réseaux sociaux », que dit-on ? Et de quelle jeunesse parle-t-on ? L’axiome est souvent teinté de jugement, parfois de mépris. On estime que les ados, unanimement à l’aise avec le numérique, sont d’une perméabilité évidente aux fake news et à la désinformation. Le sociologue Julien Boyadjian, maître de conférences en sciences politique à Sciences Po Lille, livre dans une enquête un portrait tout en nuances de ces Jeunesses connectées, plurielles et pas aussi uniformes qu’on le pense. Entretien à l’occasion des vingt ans du Safer Internet Day, une journée internationale pour la protection des mineurs en ligne.
Essentially, the study concludes that younger people are more likely to think they may have unintentionally shared false or misleading information—often driven by the pressure to share emotional content quickly. However, they are also more adept at using advanced fact-checking techniques.
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