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Ma veille perso porte principalement sur : #numérique #geekerie #écologie #social #politique #alternatives.

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À propos

Bonjour, je m’appelle Louis Derrac. Je suis un acteur indépendant et militant de l’éducation au numérique et d’un alternumérisme radical.

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Un moteur de recherche qui recherche dans les blogs à l'ancienne ! Très cool :)

Via LinkedIn, post de Pierre Paquot (Telecoop)

Je suis très mitigé sur l'intérêt politique de ce genre d'alternatives, et j'ai même peur qu'elles représentent « l'alternative utile » au système, comme le logiciel libre à bien des égards.

Si on se met à l'échelle politique, se permettre d'acheter, mais surtout d'utiliser cet appareil reste un geste réservé aux privilégiés (économiquement, socialement, culturellement).

Donc au-delà de l'importance d'étudier rigoureusement le cycle de vie de l'appareil, et ses impacts écologiques et sociaux, etc. je crois surtout qu'il faut continuer de légiférer, réglementer, pour que toute la société puisse développer un rapport sain aux technologies (numériques), pas que les privilégié·es !

Tiens j'avais loupé cette info. Allez on essaye d'y croire encore !

Prometteur !

J'adore les blogrolls :) Il faut que je rebosse la mienne

GO RSS !

Faire face au libéralisme autoritaire dans le monde du livre. Chouette initiative

Excellent :)

Très stylé ça

La ville de Rennes passe son site sur une alternative éco-conçue et développée par un consortium.

Une chouette démonstration d'alternative numérique dans une collectivité territoriale !!

Bravo :)

Utile, je garde :)

Une chouette campagne ;)

Il faudrait vérifier la solidité de l'étude, mais je ne suis pas étonné par cet énième signal faible que nous vivons (pas que les jeunes) une immense dissonance cognitive dans notre vie numérique et que notre salut réside dans l'alternumérisme radical => https://louisderrac.com/alternumerisme-radical/

Chouette, un commun numérique pour découvrir les événements autour de Chambéry !

L’illusion du progrès numérique masque une réalité brutale : celle d’un monde où chaque geste alimente des systèmes de contrôle, de surveillance et d’exploitation. Ce n’est pas seulement l’intelligence artificielle, mais tout un modèle technologique, celui des plateformes, de la capture de l’attention, de l’extractivisme numérique, qu’il faut interroger. Ce texte n’invite ni à fuir ni à consentir : il appelle à politiser nos usages et à réarmer nos pratiques.

Quelques passages :

Il y a vingt ans déjà, nous avions compris que culpabiliser les utilisateurs de Windows constituait non seulement une stratégie inefficace, mais surtout contre-productive, dans la mesure où elle nuisait directement à la promotion et à la légitimation des logiciels libres. Cette attitude moralisatrice présupposait une liberté de choix que la réalité technologique, sociale et économique ne garantit pas à tous. L’environnement numérique est souvent imposé par défaut, par des logiques industrielles, éducatives ou institutionnelles. La posture libriste ne peut être qu’une posture située, consciente des rapports de force et des contraintes concrètes qui pèsent sur les individus.

De même que la promotion des logiciels libres n’avait pas vocation à se cristalliser dans un antagonisme stérile entre Windows (ou Mac) et GNU Linux, la question d’une informatique émancipatrice ne peut aujourd’hui se réduire à un débat binaire « pour ou contre l’IA ». Il faut reconnaître la diversité des IA – génératives, prescriptives, symboliques, décisionnelles, etc. – et la pluralité de leurs usages. L’enjeu est de comprendre leur place dans les systèmes techniques, reflets des rapports socio-économiques, et des visions du monde

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