8 personnalités issues de la culture, du numérique et de la tech racontent leur vision du monde de demain, les jeux de pouvoir et les préjugés auxquels elles font face, les challenges et les interrogations sur leur secteur, ainsi que les œuvres culturelles qui les ont forgées.
La violence du backlash...
Je me rends compte que je n'ai jamais vraiment partagé le travail de mon amie Alice, qui fait de la photo (et pas que) engagée, avec beaucoup de talent ! A découvrir encore et encore !
Indispensable en éducation au numérique ! Il en faudrait une trad FR
Les conférences de Khrys, précieux !
Source : Pioche!
Ce manuel s’adresse aux équipes des lieux en priorité, pour des conseils pratiques et avec une partie d’affichage à destination du public que vous pourrez directement utiliser. Nous avons identifié les fablabs comme étant les tiers lieux ayant le plus besoin de mesures d’inclusion de genre, car ils sont très majoritairement masculins, mais de nombreuses règles peuvent s’appliquer aussi aux autres tiers lieux et plus généralement à tout lieu accueillant du public.
Via Sebsauvage
« Ce n'est pas la langue française qui est sexiste, ce sont ses locuteurs et locutrices. Qui ne sont pas responsables de ce qu'on leur a mis dans la tête, mais de ce qu'elles et ils en font », affirme Éliane Viennot, professeure émérite de littérature. Ce que nous faisons aujourd’hui, c’est que l’on reféminise la langue. On ne la féminise pas, on la reféminise parce qu'elle a été masculinisée. En fait, il s’agit de la faire fonctionner comme elle sait faire. Tous les noms féminins de métiers, de fonctions sont là depuis toujours – sauf évidemment s'ils correspondent à des activités nouvelles. »
Cela passe aussi par l’usage de mots génériques tels que « personnes » ou « individus ». Également par des formules englobantes avec des singuliers collectifs : « l’équipe » (plutôt que « les salariés »), « l’orchestre » (plutôt que « les musiciens »), « la population étudiante » (plutôt que « les étudiants »), « bonjour tout le monde » (plutôt que « bonjour à tous »). Ou encore par des tournures en apostrophe (« Vous qui lisez cet article » au lieu de « Chers lecteurs ») et autres reformulations, avec, par exemple, le recours à des formulations passives : « L’accès à la bibliothèque est libre » plutôt que « Les utilisateurs ont librement accès à la bibliothèque »).
Sous le coude mais ça donne très très envie !