Merci pour la mention @Cyrille !
The Inflation Reduction Act could unlock more than $1 trillion in federal incentives. To give a clearer sense of the on-the-ground impact of the law, MIT Technology Review zeroed in on a single project: a nickel mining proposal in the Midwest. Here's how the potential mine is forcing the region’s residents to choose between achieving broad climate goals and preventing local environmental dangers. At stake is the future of the domestic supply of critical materials, and potentially $26 billion in government incentives.
Contrairement aux mythes de la dématérialisation et de la désindustrialisation, nous n’avons jamais autant extrait de métaux et nous prévoyons d’en extraire plus encore
Les innovations dans la mine ne la rendent pas plus responsable, elles la rendent plus efficace. Elles permettent de creuser plus et plus vite avec moins de main-d’œuvre, comme
l’expliquent les dossiers de l’association SystExt. Le modèle minier se “radicalise bien plus qu’il ne se responsabilise”. Et “plus la teneur des gisements baisse, plus la mine est polluante”.Derrière la fable des métaux pour la transition, la réalité de la mine est qu’elle est bien plus au service de la Défense et du capitalisme numérique que de la transition écologique
Pour Izoard, la décroissance minérale est notre seule perspective. Mais elle n’est pas acquise.
Les « z’écrans » sont de bons exutoires des incapacités politiques.
- Le premier problème, c’est d’abord ce qu’il y a dans les z’écrans, ou, pour le dire autrement, en lien avec la méta-analyse citée plus haut, les contextes et les situations d’usage.
- Le deuxième problème est que cela traduit un véritable problème culturel et comportemental : pourquoi sommes nous devenus si dépendants de ces techniques ?
- Le troisième problème est celui de l’évolution de nos sociétés dans leur soutien aux moyens numériques : qui en sont les origines, les causes, les responsables ?
- Enfin il faut s’interroger sur la récurrence de la thématique : pourquoi revient-elle à chaque évolution technique, comme cela est en train de se développer autour de l’Intelligence dite artificielle ?
Très en phase avec ce billet de Bruno Devauchelle
Ce lien entre le niveau de maîtrise des compétences numériques et le milieu social dans lequel évoluent les élèves rejoint les résultats observés lors de l’enquête ICILS 2018 auprès d’élèves de quatrième. Ceux-ci pointaient en effet des écarts de score importants selon le profil social des élèves dans le domaine de la littératie numérique et, plus encore, dans celui de la pensée informatique.
Intéressant quand vers 1h05, le président d'Accenture parle de la « tech fatigue », ou de cet âge de raison du numérique où les utilisateurices veulent reprendre du contrôle et ne plus être contrôlés. Cela fait écho à mes voeux où je parlais d'âge de maturité du numérique.
Pour le reste baaaaah, c'est du langage de consultant quoi...
Mouais, avis tronqué à mon sens mais bon, ça existe donc je partage...
Un mooc auquel j'ai eu l'honneur de contribuer un petit peu ;)
Encore un élément à avoir en tête quand on parle de numérique éducatif et / ou de edtech
Un autre podcast à suivre
Indispensable pour faire une éducation technocritique, populaire et émancipatrice au numérique.
Tout cela est le signe d’une économie collaborative qui vole en éclats, non à cause de telle ou telle décision d’un PDG quelconque, mais parce qu’une entreprise se présentant comme la version débrouille d’une activité bien établie ne peut se développer qu’en suivant le modèle même qu’elle prétendait remplacer. Et c’est quand elle essaye d’être les deux à la fois que les ennuis commencent.
Depuis la rentrée 2016, il est prévu que l’école primaire et le collège assurent un enseignement de l’informatique. Cela peut sembler paradoxal : tous les enfants ne sont-ils pas déjà confrontés à des outils numériques, dans leurs loisirs, des jeux vidéos aux tablettes, et, dans une moindre mesure, dans leur vie d’élève, depuis le développement des tableaux numériques interactifs et espaces numériques de travail ?