À la Commission européenne, au Conseil de l’UE et au Parlement européen.
Pour interagir avec des administrations, une banque, un fournisseur d’énergie, pour chercher un emploi ou un logement, pour acheter un billet de train… le numérique est rendu incontournable.
Or, plus de 40 % de la population européenne ne maitrise pas les compétences numériques de base, ce qui l’empêche d’accéder à certains services essentiels.
Il est urgent de garantir l’accessibilité hors-ligne à tous les services essentiels.
« The cyberlibertarian approach that emerged out of the United States isn’t particularly surprising. The political dynamic in the United States has a stronger libertarian bent than in many other countries, especially the high-income Western countries it’s usually compared to. Digital politics in California had already integrated libertarianism and neoliberalism, so it wasn’t a big jump for it to define the approach to the internet. “The California Ideology is a mix of cybernetics, free market economics, and counter-culture libertarianism,” wrote Richard Barbrook and Andy Cameron in 1995. They described it as a “profoundly anti-statist dogma” that resulted from “the failure of renewal in the USA during the late ‘60s and early ‘70s.” »
It’s an argument that once again treats digital technology and the internet as an exception where traditional norms cannot apply — particularly the fact that authorities have long been able to get warrants to search people’s mail, wiretap their phones, or obtain their text messages. That’s the trade off we’ve collectively made, and one that the vast majority of people have never seen as a threat to their rights, freedoms, or liberty — because they’re not libertarians.
Source : Disconnect
Un signal faible de plus pour Mastodon... et pour Mozilla :/
La vraie rupture serait de casser le rythme annuel
« Although tech companies have long done business with the fossil-fuel industry, Microsoft’s case is notable. It demonstrates how the AI boom contributes to one of the most pressing issues facing our planet today—despite the fact that the technology is often lauded for its supposed potential to improve our world, as when Sam Altman testified to Congress that it could address issues such as “climate change and curing cancer.” These deals also show how Microsoft can use the vagaries of AI to talk out of both sides of its mouth, courting the fossil-fuel industry while asserting its environmental bona fides. »
L'article du New Yorker intitulé "It's Time to Stop Talking About Generations", écrit par Louis Menand, critique l'utilisation généralisée et souvent simplificatrice des catégories générationnelles comme Baby Boomers, Génération X, Millennials, et Génération Z. Menand soutient que ces étiquettes sont davantage basées sur des stéréotypes que sur des analyses sérieuses de données sociologiques. Il explique que les comportements et attitudes varient largement au sein de chaque génération et que les lignes de démarcation sont souvent floues et arbitraires. L'article souligne également que les différences intra-générationnelles (comme la classe sociale, l'éducation, et la localisation géographique) sont souvent plus significatives que les différences inter-générationnelles. En conclusion, Menand propose que nous devrions abandonner ces étiquettes simplificatrices et adopter des analyses plus nuancées qui tiennent compte des multiples facteurs influençant les comportements sociaux et culturels.
Mignon ! Via David Ho
Face à toutes les sollicitations numériques auxquelles nous sommes confrontés, comment le cerveau tente-t-il malgré tout de rester concentré ?
« Elles n’ont même pas Windows ! » résume une de nos amies (Margaux pour ne pas la citer) pour expliquer notre manière de travailler. Alors, à quoi ressemble une thèse, sans Windows (ni...
Passionnant ! Ça me fait penser aussi au livre Droit du sol où l'auteur se demande comment communiquer des messages à des humains qui habiteront la terre (ou pas...) dans 100 000 ans... pour les prévenir qu'on a enterré des déchets nucléaires sous leurs pieds.