Signal messages are more private than iMessage and WhatsApp. Here’s how.
C'est un remix d'une BD promotionnelle de Google. Très bien fait, instructif et percutant :)
« La Chine avant le congrès » (2/5). En dix ans, les applications WeChat et Alipay ont radicalement changé le quotidien des Chinois. Mais les données récoltées par ces géants de la tech contribuent au contrôle social exercé par le gouvernement chinois.
Alors que le changement de majorité à la mairie de Marseille nous avait un temps laissé croire à l’abandon des projets technopoliciers hérités de la mandature précédente, plus le temps passe et plus la douche est froide. Cette fois, le maire Benoît Payan (PS) et ses services ont décidé de défendre la légalité de l’expérimentation de vidéosurveillance automatisée (VSA), que nous avons attaquée en décembre 2020 devant le tribunal administratif de Marseille. Leurs arguments juridiques sont en plus complètement fallacieux, comme nous le démontrons dans notre mémoire en réplique.
TikTok est capable de tracer les internautes, même ceux qui n’ont pas l’application.
=> Mettez Ublock origins et Privacy Badger en extension de votre navigateur (Firefox de préférence), ne vous posez pas de questions...
« Les logiciels espions sont des outils très dangereux, dévastateurs » : Guilhem Giraud, un ancien du renseignement se confie
La Quadrature du Net vient de déposer trois plaintes collectives auprès de la CNIL, visant à interdire les caméras de « vidéoprotection », ainsi que le « fichage de masse » et biométrique via la reconnaissance faciale exploitable par la police et la gendarmerie.
Technopolice publie aujourd’hui son premier guide pour lutter contre la vidéosurveillance sur la voie publique. Celui-ci ne se veut en aucun cas exhaustif : il détaille les différentes actions possibles ou déjà employées par des collectifs ou des personnes seules pour lutter contre l’installation de caméras dans nos rues. Il a aussi vocation à être modifié et critiqué. Aidez-nous à l’améliorer en nous envoyant un mail à contact@technopolice.fr ou directement sur le forum Technopolice.
La campagne d’action collective contre la Technopolice se termine dans quelques semaines. Notre plainte contre le Ministère de l’Intérieur (que vous pouvez encore rejoindre ici) vise notamment deux fichiers étatiques massifs : le fichier TAJ et le fichier TES. À travers eux, nous attaquons des outils omniprésents et structurants de la surveillance policière. Car ficher, c’est organiser le contrôle et la domination de l’État sur sa population. Comment expliquer que ces pratiques aient pu émerger, se maintenir et s’ancrer si profondément dans les rouages de l’administration française au point qu’elles échappent désormais à tout véritable contrôle ?
Si on peut évidemment trouver une multitudes d’explications, nous proposons de revenir ici, sans prétention d’exhaustivité, sur l’évolution à travers le temps du fichage en France.
As states rush to enact laws criminalizing abortion-related care in the wake of the Supreme Court’s recent decision overturning Roe v. Wade, health advocates and civil rights groups are warning that school surveillance software can be weaponized against teens who seek reproductive care.
In tens of thousands of schools, every message students send or term they search on their computer is algorithmically monitored by software from companies like Bark, Gaggle, GoGuardian, and Securly. These tools monitor many students even outside of school hours and can send automatic alerts to school administrators, parents, or police when they detect dangerous behavior, which may range from imminent suicide threats to “sexual content.”
« Nicole said her school gives a computer to each student who needs or wants one and that each device comes pre-installed with GoGuardian. The software allows teachers to view students’ screens in real time, access their search histories, and monitor their messages. »
Sandberg, who will remain on Meta’s board, she says, and spend more time on her philanthropy, will go down in history for her success in scaling Google and Facebook and her failure to deal with the costs of that success. That is her legacy. How we choose to respond to it will be ours.
Que ce soit pour des raisons publicitaires, de pressions étatiques ou dans les cas de violences conjugales, les applications de suivi menstruel peuvent avoir un effet sur l’accès des femmes à l’avortement
Il y a 3 ans, La Quadrature du Net lançait l’initiative Technopolice pour recenser les nouvelles technologies policières installées dans nos villes. Aujourd’hui, la surveillance de nos rues est devenue totale, car ces technologies se renforcent les unes les autres : vidéosurveillance généralisée, fichage de masse, reconnaissance faciale et détection automatisée de comportements. Pour mettre un coup d’arrêt à cette surveillance totale, nous lançons une plainte collective contre le ministère de l’intérieur qui l’organise illégalement.
Rejoignez la plainte sur plainte.technopolice.fr. Vous y trouverez le détail de notre argumentaire et de la procédure.
Un récente étude estime qu'en Europe, nous sommes géolocalisés plusieurs centaines de fois par jour. Un chiffre inquiétant, mais largement en dessous des résultats américains.
Quel enfer...
Face aux menaces qui pèsent sur le droit à l’avortement, les Américaines craignent que ces applications numériques soient dans le futur utilisées contre elles. Nombre d’experts conseillent de les supprimer des portables.
C’est une décision majeure dans le combat pour la protection des données. Lundi 9 mai, après deux ans de bataille judiciaire contre l’Union américaine pour les libertés civiles (ACLU), Clearview AI a accepté de ne plus vendre sa base de données biométriques à des entreprises privées. L’accord doit encore être validé par un juge du comté de Chicago.
Avec l’« obfuscation » ou le « data poisoning », ils redoublent d’efforts pour empêcher les entreprises de les traquer en ligne. Mais ces modes de résistance, chronophages, parfois très complexes, peinent à se populariser.
Quelle tristesse de voir ce que les internautes doivent faire maintenant pour tenter d'avoir des services normaux en ligne, de ne pas avoir l'impression d'être "surveillés", traqués, pistés.
Je pense qu'il faut aller un cran au dessus : boycotter le capitalisme de surveillance, passer par des alternatives (quitte à renoncer : à du confort, à de l'audience, etc.), en développer de nouvelles, et militer pour plus de régulations !