School Chromebooks are creating huge amounts of e-waste - The Verge
Via Sebsauvage.
Insoutenable sur le plan humain et environnemental...
The World Wide Web became available to the broader public 30 years ago : NPR
La recherche au défi de la sobriété énergétique du numérique
La quantité de gaz à effet de serre émise par le secteur du numérique augmente de 6 % par an. Une évolution inquiétante du bilan carbone de ce secteur qui fait débat au sein des laboratoires d’informatique, où les tenants de la recherche d’efficacité des systèmes s’opposent aux partisans d’une plus grande sobriété, donc d’une réduction des usages.
Miscellanées numériques avril 2023 | Miscellanées numeriques
Dans le souci de donner un peu de cohérence à ma veille numérique et de sens à l’accumulation de liens dans ma collection Flus “Miscellanées numériques”, j’inaugure une nouvelle catégorie de billets (que j’espère publier à rythme mensuel) pour mettre en valeur quelques-unes de mes lectures, conseils podcasts ou vidéos du mois écoulé.
Retour sur la seconde édition de la Journée du libre éducatif Ce mois d’avril a débuté avec la Journée du libre éducatif, qui s’est déroulée à Rennes le vendredi 7, co-organisée par la Direction du numérique pour l’éducation du ministère, l’académie de Rennes et l’académie de Nantes.
LHDG08. Le technosolutionnisme | Grise Bouille
Trop stylé cet article et merci de m'avoir cité !
Numérique à l’école et à la maison : des apprentissages irréconciliables ? | Parentalité et Numérique
Il y a comme une fatalité en France : la culture juvénile est vue comme une ennemie de la culture scolaire par la plupart des enseignants. Il faut dire que le fossé n’a jamais été aussi grand.
#21 Comprendre les enjeux des métaux - avec Thomas Lemaire | Déclics responsables
Numérique soutenable : l'Arcep fait un bilan des actions récentes, avant l'afflux de nouvelles données
Note : intéressant, on passe au numérique soutenable.
ça me donne envie de me replonger dans mon brouillon d'article sur le numérique acceptable vs responsable :)
Point de méthode et perspectives de recherche
à lire comme toujours avec le travail de Gauthier !
Améliorer son hygiène numérique sur Windows 10
Excellent tuto, merci Bouteille !!
Logiciel libre et environnement : greenwashing ou réalité ? - Libre à lire !
« La Silicon Valley a un rôle éminemment politique » [€] | Mediapart
Le « solutionnisme technologique », cette foi en l’innovation qui évite de penser le changement [€]
« Le technosolutionnisme appartient aux « mythologies écologiques propagées pour que rien ne change », affirme le géographe Renaud Duterme dans Nos mythologies écologiques (Les Liens qui libèrent, 2022), et peut s’apparenter, de ce fait, à une forme de climatoscepticisme. A quoi bon limiter nos consommations si une rupture technologique va bientôt nous sauver ? Tabler sur les véhicules électriques est un bon moyen de ne pas questionner nos mobilités, comme miser sur les robots et les capteurs agricoles évite d’interroger notre modèle d’agriculture, tout en assurant de nouveaux marchés à l’industrie. En dépolitisant les réponses à apporter aux crises, cette quête sans fin est aussi une façon de contourner le débat démocratique sur la façon de les affronter. »
Veille M3 / De l’eau dans le numérique ? L’empreinte hydrique méconnue d’un secteur perçu à tort comme immatériel : Millenaire 3, Soutenabilité
Refroidissement de data centers, extraction de métaux critiques, gravure et nettoyage de semi-conducteurs : la dépendance croissante à l’eau de l’industrie du numérique est un phénomène mé-connu, mais pourtant bien documenté.
Le poids environnemental de cette empreinte hydrique, exacerbé par un contexte de raréfaction, oc-casionne ainsi de multiples controverses locales et des tensions géopolitiques.
Il témoigne en cela de la contradiction entre transition technologique et redirection écologique.
Intelligence artificielle : Nous n’avons pas besoin de plus de contenus, mais de meilleures analyses – FredCavazza.net
Excellent article merci !!
« C’est là un point que personne n’aborde : la finalité de ces IA génératives qui sont effectivement très performantes dans la génération de contenus textuels et visuels, mais qui vont surtout dans un premier temps profiter aux fermes à contenus et spammeurs, une perspective qui ne me réjouit pas. À court terme, tous les articles seront remis en cause, car on les soupçonnera d’avoir été générés : Welcome to the Big Blur. »
Très important ça, le technosolutionnisme classique :
« Ils nous décrivent l’IA générative comme la solution ultime, alors qu’elle sert surtout à atténuer les symptômes d’une inculture informatique et numérique, mais pas à traiter les problèmes à la source. »
« À une époque pas si éloignée (il y a quelques semaines), la croissance des usages numériques était remise en cause par la nécessité de réduire l’impact environnemental (émission de gaz à effet de serre) et par la diminution de notre dépendance aux géants numériques américains. Et sans crier gare, ChatGPT débarque, et toutes ces considérations écolo-souverainistes passent au second plan. Telles des légions de skitarii de l’Adeptes Mechanicus, nous vénérons aveuglément l’innovation technologique et nous nous prosternons devant le dieu machine, comme s’il allait résoudre de façon miraculeuse tous nos problèmes. Celles et ceux qui osent questionner cette “révolution technologique” sont qualifiés de rétrogrades, voire de vieux cons incapables de mesurer le potentiel disruptives des IA génératives. Où est donc passé notre esprit critique ou notre libre arbitre ? »