Les projets partagés Territoires en commun permettent à un groupe de collectivités de concevoir un projet de politique publique en lien les unes avec les autres, et en misant sur la coopération et l’engagement citoyen. L’Agence Nationale de la Cohésion des Territoires, dans le cadre de ce programme d’une durée d’un an environ, vient pour cela financer une démarche d’ingénierie collective, pour que chaque collectivité puisse élaborer son propre plan d’action, en profitant des regards croisés et de l’apprentissage mutuel entre pairs.
Intercommunalités, n° 275, octobre 2022. pp. 22-29
À partir de 2025, les communes et leurs intercommunalités de plus de 50 000 habitants devront élaborer une stratégie numérique responsable. Quels sont les enjeux et les objectifs de la loi ?
Les logiciels libres permettent de bénéficier des avancées faites par d’autres acteurs et d’échanger sur les siennes. Toutes les collectivités peuvent se tourner vers les logiciels libres, et cette démarche est plus simple lorsqu’elle est mutualisée. Pour assurer leur bon fonctionnement, l’abonnement à un logiciel propriétaire est remplacé par un contrat de maintenance, interne ou externe.
Enfin un article de qualité sur les logiciels libres en collectivité !
« Une logique de « commun » qui ne doit pas être confondue avec la gratuité. Pour certains interlocuteurs du logiciel libre, cette confusion entretient une mauvaise considération du numérique libre par les administrations. Comme si l’on pouvait le maltraiter car son accès est gratuit. La liberté gagnée face aux éditeurs a pourtant un coût. Et il peut être élevé si la démarche n’a pas été rationalisée. »
« Développer ou aider à développer un logiciel libre nécessite une gouvernance à plusieurs niveaux »
À l’aune du Covid-19 et de la guerre en Ukraine, le logiciel libre apparaît plus que jamais comme un outil de souveraineté numérique. Son adoption par l’administration ne se fait pourtant pas sans heurts.