Quotidien Shaarli

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May 22, 2024

The Digital Border: Migration, Technology and Inequality | Amnesty International USA
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Amidst human rights violations around the world, many of which are fueled by growing global inequality, the role of technology has continued to permeate into more areas of daily life. Racial, economic, and social inequities around the world have shaped and driven the movement of persons across municipal and international borders, many of whom are fleeing the effects of conflict, intractable poverty, political oppression, or the climate crisis. 2023 recorded the highest ever number of forcibly displaced people – an estimated 110 million opens in a new tab. Many governments and political movements around the world have weaponized xenophobic rhetoric about refugees and migrants, often blaming domestic instability on migrants and refugees or otherwise mobilizing support for externalization and privatization of borders opens in a new tab.

This briefing will provide an overview of how migration fits into an intersectional framework of technology, inequality, and human rights. Building upon previous work by Amnesty International and others, this briefing will outline how uses of new technology are central to a trend of violations of human rights at borders around the world, and provide a broad outline of forms of technology used by states and non-state actors in migration management and asylum systems. The second of a series of four briefings by Amnesty International USA on technology and inequality, this report will demonstrate how concerns around digital rights and the rights of asylum seekers, refugees and migrants are increasingly interrelated, and must be considered within a broader trend of criminalization of marginalized peoples’ lives that is often enabled and facilitated by new forms of technology.

Emmanuel Macron veut « l’IA partout et pour tous » - Next
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La quatrième priorité présentée par le chef de l'État est de diffuser « l’IA partout et pour tous ».

C'est du délire quand même...

A la Commission européenne, les ONG écologistes peinent à défendre la durabilité des appareils électroniques face aux lobbys
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Source : Pixels : Toute l’actualité sur Le Monde.fr.

Menachem Klein : « La décision de la CPI est une honte pour Israël » | Mediapart
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Terrible...

La société et les dirigeants israéliens vivent toujours le 7 octobre, et cela, en effet, explique en partie le rejet de la requête de Karim Khan. Tous les discours portent sur ce qui nous est arrivé le 7 octobre. Y compris le slogan à propos des otages : « Ramenez-les à la maison maintenant ». À l’exception d’un petit groupe de personnes à l’esprit critique, qui suit les médias internationaux, les Israéliens sont totalement aveugles à ce qui se passe à Gaza. Ils ne sont pas intéressés. Ils sont enfermés dans leur propre traumatisme. Ils n’ont pas l’esprit critique. La propagande de l’armée et celle du gouvernement font de leur mieux pour maintenir les Israéliens enfermés dans le 7 octobre. La guerre est toujours perçue comme une revanche. Le 7 octobre justifie tout. Il n’y a pas de discussion publique sérieuse sur la guerre.

Le règlement IA adopté, la fuite en avant techno-solutionniste peut se poursuivre
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Réunis au sein du Conseil de l’Union européenne, les États-membres ont adopté hier le règlement IA, dédié à la régulation des systèmes d’Intelligence Artificielle. Cette étape marque l’adoption définitive de cet édifice législatif en discussion depuis 2021, et présenté au départ comme un instrument de protection des droits et libertés face au rouleau compresseur de l’IA. À l’arrivée, loin des promesses initiales et des commentaires emphatiques, ce texte est taillé sur mesure pour l’industrie de la tech, les polices européennes et autres grandes bureaucraties désireuses d’automatiser le contrôle social. Largement fondé sur l’auto-régulation, bardé de dérogations, il s’avère totalement incapable de faire obstacle aux dégâts sociaux, politiques et environnementaux liés à la prolifération de l’IA.

En vertu du règlement adopté hier, ce sont les entreprises qui conçoivent les systèmes d’IA qui seront les premières compétentes pour de prononcer sur le niveau de risque que présentent leurs produits (article 43). Il leur sera alors loisible de considérer que ces systèmes ne sont pas risqués et donc exempts de toute régulation en vertu du règlement. Autrement, ce sont des organismes privés de certification qui seront amenés à délivrer des attestations de conformité

LOL

Source : La Quadrature du Net